Les Galgos sont des chiens utilisés pour la chasse en Espagne.
Ils sont reproduits en grand nombre dans des élevages dont la rentabilité est l’unique souci de l’éleveur. Entendons par cela que les chiennes doivent sans répit donner naissance à des chiots qui seront aussitôt vendus au premier venant.
Les acheteurs sont des Galgueros, des chasseurs qui veulent amortir au plus vite le prix qu’ils ont payé pour leurs chiots. Il leur importe donc que les animaux acquis courent le plus vite possible.
La plupart de ces chiens sont détenus dans des conditions déplorables et sont mal nourris. Vers deux ans, leurs performances commencent à baisser; ils perdent ainsi le droit d’exister, seuls seront épargnés quelques sujets génétiquement intéressants pour de nouvelles reproductions.
Vu le grand nombre d’élevages, le prix d’achat des chiots est relativement bas. Le Galguera achètera donc un chiot et se débarrassera de son «vieux» chien, âgé de deux à trois ans.
Les acheteurs sont des Galgueros, des chasseurs qui veulent amortir au plus vite le prix qu’ils ont payé pour leurs chiots. Il leur importe donc que les animaux acquis courent le plus vite possible.
La plupart de ces chiens sont détenus dans des conditions déplorables et sont mal nourris. Vers deux ans, leurs performances commencent à baisser; ils perdent ainsi le droit d’exister, seuls seront épargnés quelques sujets génétiquement intéressants pour de nouvelles reproductions.
Vu le grand nombre d’élevages, le prix d’achat des chiots est relativement bas. Le Galguera achètera donc un chiot et se débarrassera de son «vieux» chien, âgé de deux à trois ans.

Et ces chiens meurent atrocement, une mort inimaginable pour toute personne un tant soit peu civilisée.
Ils sont soit pendus soit suspendus dans le but de les faire souffrir le plus longtemps possible. On entoure leur cou d’une corde de façon à ce que les pattes antérieures touchent le sol. L’animal, épuisé à force de se tenir dans cette position, s’affaisse, et se pend donc lui-même.
Cette extermination relève d’une perversité avancée, mais peut-on s’en étonner quand on sait que les corridas et autres massacres d’animaux font partie de l’identité nationale?
Ils sont soit pendus soit suspendus dans le but de les faire souffrir le plus longtemps possible. On entoure leur cou d’une corde de façon à ce que les pattes antérieures touchent le sol. L’animal, épuisé à force de se tenir dans cette position, s’affaisse, et se pend donc lui-même.
Cette extermination relève d’une perversité avancée, mais peut-on s’en étonner quand on sait que les corridas et autres massacres d’animaux font partie de l’identité nationale?
Susanne Wachtl
Nous soutenons l’association espagnole «Las Nieves» dans sa lutte contre cette ignoble mise à mort de chiens. Nous appelons nos lecteurs indignés à signer la pétition disponible à notre secrétariat.
Nous vous invitons également à visiter le site internet www.sos-levriers.org qui œuvre à sauver les lévriers d’Espagne.
Nous vous invitons également à visiter le site internet www.sos-levriers.org qui œuvre à sauver les lévriers d’Espagne.